Chapitre 1 : La Genèse

Lorsque l’aube ne s’éveillait pas encore, magnificences des univers, existaient ces entités, essences métaphysiques. Appelées alors les Titans. Nés de l’inexistants, ils demeurent à ce jour une croyance que l’on nomme dans un folklore ou dans une religion. Tous n'étaient qu'un souffle, une idée que l'on s'est un jour construit. Beaucoup le nomment Dieu, d'autres Allah, ou bien d'autres noms qui se reflètent dans la société. Pourtant, il ne possédait alors pas de nom, du moins rien de tel que ceux que l'on a pu lui offrir. Dieu était l'un des sept Titans qui frôlaient la barrière de l'univers, des univers dans lequel, son pouvoir immense lui permit de créer la planète Terre. De ses doigts, il façonna la vie, de sa parole, il créa le monde, son monde où il régnait avec bienveillance.

De son côté, une Titane de nos jours nommée Astralaria fascinée par sa création, par l'efflorescence d'un tel monde raviva une flamme en elle. La beauté d'un monde grouillant d'êtres fascinants. Alors elle fit de même, naquit alors de son amour Elataris. Univers à son image, une autre réalité où la magie serait son essors.

Tout d'abord, de ses mains s'éveillèrent les Esprits Primordiaux doyens des éléments, régisseurs des cycles et de l'équilibres. Puis vinrent les Engjëlls, puissances immortelles descendants directs de la Titane, leur force était sans limite, et enfin, êtres fragiles les Elatariens. Tels furent les hommes pour Dieu, eux étaient le cristal de ce monde. Astralaria décida cependant contrairement à son homologue d’insuffler la magie dans leurs veines.

Ainsi fut créée Elataris. Terre noble dont elle porterait un jour le fardeau sur ses épaules.


Chapitre 2 : La Rébellion

Tandis que le souffle de la Titane éveillait lentement la vie dans le creux de ses bras, le monde s'animait. Vivace et fougueux, c'était devenu un havre de paix. Tous vénéraient la bienveillante Astralaria qui d'une main de fer faisait prospérer ce monde.

Un jour terrée dans l'ombre, première Engjëll que ce monde ait connu, Abyss. Aussi terrifiante que magnifique, elle s'évertuait de sa fierté en tant qu'être supérieure. Désireuse de reconnaissance, elle maniait son pouvoir pour le bien d'autrui. [en cours]